Où en sont les voitures électriques en 2019 ? Tour d’horizon des innovations

Pour une entreprise, baisser ses factures de consommation d’essence peut être important. Pour cela les voitures électriques peuvent aider. Petit point sur ce qui existe déjà sur le marché.

Caractéristiques et marché automobile de la voiture électrique

Les voitures électriques, ne cessent de se développer et évoluer, le secteur des particuliers à augmenté de 24.7% sur le marché français en 2018. La part de marché a elle aussi progressé passant de 1.18% à 1,43%. Actuellement, les utilisateurs de voitures essence se demande où recharger cette fameuse voiture. En France, il existe aujourd’hui 25 000 points de recharges, d’ici 2022 le gouvernement souhaite atteindre 100 000 bornes de rechargement.
Les temps de recharge quant à eux varient grandement, de 30 minutes pour une recharge rapide en station- service, à 8 heures pour une recharge via la prise de courant domestique. En véhicule électrique, il suffit de 2 euros pour recharger une autonomie de 100 kilomètres sur son véhicule. Une solution très économique comparée aux tarifs de l’essence et du diesel.
Les petits modèles comme la Renault Zoé à 19 750€, atteignent une autonomie de 400km, comparé aux modèles plus coûteux comme la Tesla Model S à 75 700€, qui atteint une autonomie de 613km. En France 24 modèles de voiture électriques sont en vente. Les trois-quarts des voitures électriques vendues en France sont des Renault Zoe ou des Nissan Leaf, des véhicules citadins et peu coûteux. Les futurs véhicules électriques attendus sur le marché, il s’agit notamment du DS3 Crossback e-Tense et de la Peugeot e-208.

Bonus et superbonus de la voiture électrique

Pour 2019, le bonus en vigueur ne change pas. Pour l’acquisition d’un véhicule électrique, vous bénéficier de 6000 euros de bonus avec une limite de 27% du prix total TTC. Cette année, le superbonus apparait, une déviation de la prime à la conversion. Pour les ménages imposables, ce bonus reste fixe à 2500 euros. Le montant de l’aide peut grimper jusqu’à 80 % du prix d’acquisition, dans la limite de 5.000 euros, pour une personne physique non imposable dont la distance entre le lieu de travail et son domicile est d’au moins 30 km ou dont le kilométrage annuel excède 12.000 kilomètres dans le cadre de ses activités professionnelles.